Qui suis-je ?

Poussée par l’envie de comprendre le monde, j’étudie d’abord les Sciences Politiques à l’ULB. Mes centres d’intérêts m’amènent ensuite à me former comme guide nature, photographe et éco-conseillère. Mon parcours professionnel débouche alors sur la formation d’adultes autour des enjeux sociétaux actuels. Aujourd’hui, je travaille avec beaucoup de joie à l’accueil du Centre Sainte-Gertrude à Brugelette, centre résidentiel pour enfants et adultes.

Au niveau corporel, la danse et le mouvement ont toujours eu une place    essentielle dans ma vie. En 2008, je découvre le Taïchi et le Qi Gong, méditation en mouvement, centrée sur la respiration et l’ancrage.
Tout de suite, je sais que cette pratique ne me quittera plus.
Le Taïchi est un art martial interne où l’on apprend un enchaînement de mouvements plus ou moins long selon les formes. Je pratique la forme Yang de 108 mouvements qui s’apprend en 3 ans et la forme courte de 24 mouvements.
Le Qi Gong, les postures statiques et les exercices taoïstes sont pratiqués dans les cours de taïchi en préparation à l’apprentissage de la forme. C’est cette pratique  que j’ai exercé depuis plus de 10 ans, d’abord à Bruxelles, puis à Ath auprès de Jean -Marie Demeleumeester, que je transmets dans mes cours ainsi que les Dao Yin Yang Sheng Gong. Ceux-ci sont des Qi Gong thérapeutiques créés par Maître ZHANG Guang De de l’Université des Sports de Pékin, dont j’ai suivi l’apprentissage au Life Care Centre de Bruxelles (Formation professionnelle de 3 ans) auprès de Thésy Vogliolo et Clémentine Laféac.

Au niveau personnel,  j’ai un rapport fort à la nature qui m’émerveille, à l’énergie qui l’anime, aux éléments. Il  y a aussi en moi cette attirance irrémédiable vers l’invisible, l’ésotérisme, la géométrie sacrée, le féminin sacré, la reliance à l’univers.

La vie m’a permis de réaliser que le changement passe uniquement par soi.
Cela se traduit pour moi par la pratique quotidienne du taïchi et du Qi Gong et l’évidence de vouloir partager cette voie vers plus d’espace en soi.

 

Parfois le nez rouge ou autre déguisement s’impose !
Comme une ode au jeu, à la légèreté, à la vie.
Au-delà des masques, retrouver l’essentiel au cœur du cœur.
Avoir le libre arbitre et vivre ce qui est là.
Rappeler que l’humour est un filtre magnifique pour accueillir nos parts d’ombre.
Un nez rouge à la couleur de l’amour pour respirer, pour transformer et jouer sa vie.

Cindy Durieux